Le loup aux yeux voilés PV Rayka

Horla, loup d'une maigreur singulière, montait la garde depuis un certain temps. Toujours fidèle a son poste, il se dis qu'une petite pause ne ferai pas de mal. Il marcha a travers le territoire désoler sur lequel il avait toujours vécu, Le grand loup marchait d'une façon étrange, comme si ses articulation était en métal rouillées. Il marchait sans but en se dirigeant vers la fosse de l'infinie, une étrange caverne ou niche une faille dont personne n'a jamais vu le fond. Il entra donc dans cet endroit frais et humide, et vis prés du fossé un silhouette, intriguer, il huma l'air essayant de distinguer si cet étranger était le bienvenue ou pas. Plaquant son ventre au sol pour se faire discret, et étirant ses jambes au maximum il n'avais pas fait attention a ce petit cailloux qui, frôlant ses coussinet, lui fit une peur bleu, il sauta de frayeur et retomba lourdement au sol.

Le loup aux yeux voilés

Ft. Horlà

A la recherche d'une rumeur

En tant que prêtresse des Cauchemars, tu devais toujours être prête à affronter l'inconvenu. Un des jeunes apprentis que tu avais pu croiser t'avais parlé d'une plante qui vivait au bord de la fosse de l'Infinie. Il était donc de ton devoir d'y aller pour vérifier par toi-même. Lorsque tu y arrivas, tu fus seule, et aucune plante dans les environs. Le calme régnait.
Tu commenças tes recherches pendant quelques minutes, scrutant les ténèbres de la fosse, avant d'y envoyer une de tes créations, une sorte de papillon noir qui émettait une faible lumière. Tu décidas de l'envoyer explorer la fosse sans fond. Mais pendant ce temps, un bruit étrange se fit entendre. Tout d'abord, ce fut un bruit de pierre, très léger, puis, suivant ce son, un bruit plus lourd, comme si quelqu'un venait de tomber. Tu relevas la tête avant de la tourner vers l'origine de ce bruit, relevant les oreilles, sur tes gardes. Puis, d'une voix claire et autoritaire, tu demandas :

« Qui va là ? »

Tu plissas les yeux pour mieux distinguer la silhouette, un peu plus loin. Tu semblas reconnaître quelqu'un. Tu ne bougeas néanmoins pas, toujours liée à ta création, ne cessant d'y penser. Finalement,t u crus reconnaître l'odeur de ta tribu. Tu te détendis, tu finis par t'asseoir, avant de soupirer :

« Ce n'est que toi, Horlà. Qu'est-ce qui t'amènes par ici ? »